The Birth of Electromagnetism from Spacetime
Table of Contents
| Cartesian Principles | Assertions |
|---|---|
| Conversion from Aether to Matter | Aether becomes Spacetime then becomes Electromagnetism |
| . | The Sizes of Spacetime Particles Depend on their Location |
Spacetime Becomes Electromagnetism
The air-aether particles that broke off from air-aether during collisions gained:
- more speed than the air-aether because they had to travel farther at the same amount of time.
- the ability to change shape so that it could fit anywhere
They became the fire-aether.
These travel much faster than the air-aether because they have to travel at a more confined path at the same amount of time.
The round air-aether particles have spaces between them. These are quickly filled by the fire-aether.
The excess fire-aether go around the air-aether and return towards the centers of those air-aether.
This is because the air-aether already occupies all the other, more distant places.
The Inverse Square Law Comes From Circular Motion
At those centers, the remaining fire-aether must compose perfectly liquid and subtle round bodies [as stars].
This is because they incessantly turn much faster than, and in the same direction as, the air-aether particles surrounding them.
The fire-aether particles have the force:
- to increase the agitation of those particles to which they are closest to
- in moving from the center toward the circumference, to push the parts of fire-aether in all directions, just as they push one another.
This action we perceive as light.
The round bodies of pure fire-aether are the stars.
The air-aether that turn around those stars as stellar gravitational territories [’the heavens’].
Imagine, that:
- the points
S,E,e,A, andZare the centers - all the air-aether of the gravitational territory
FFFFGGturns aroundS - all the air-aether of the gravitational territory
HGGHturns around the stare, and so on for the others.
Thus, each star has a stellar gravitational territory.
- Since the number of stars is indefinite, so too is the number of stellar gravitational territories.
The firmament is the flat surface, without thickness, separating all the gravitational territories from one another.
Orbital Speeds
The particles of the air-aether towards F or G are more agitated than those toward K or L.
This makes their speed gradually decrease from the edge of each territory to the middle place such as:
- the orbit
KKaround theS - the orbit
LLarounde.
From there, the middle part, it then increases little by little up to the centers of the gravitational territory because of the agitation of the stars at the center.
Thus, the comparative speeds of the air-aether around the different orbits are:
| Orbit | Cartesian Speed | Actual | Verdict |
|---|---|---|---|
| Earht orbit | 10-30 units of speed | 30 km/s (Earth) | Plausible (Forgivable) |
Orbit K |
1 unit of speed | 13 km/s (Jupiter) | Plausible (Forgivable) |
| Edge of the solar system | 60 Units of speed | 0.91 km/s near Pluto (Halley’s Comet) | Wrong |
This is why:
- the farthest planets move more slowly than those nearest to the sun
- all the planets together move more slowly than the comets, which are more distant.*
Superphysics Note
The Sizes of the Air-Aether Particles Depend on their Location
The comparative sizes of the air-aether around the different orbits are:
| Orbit | Cartesian Size | Power | Actual | Verdict |
|---|---|---|---|---|
| Near the sun | small | strongest (most agitated) | small | Correct but obvious anyway |
Orbit K |
large | ? | large | Correct but obvious anyway |
| Edge of the solar system | medium | ? | Oort cloud is smallest | Possibly Wrong |
- Between the edges of
FFFFGGand edges of the orbitKK, the air-aether has similar sizes, with those at the edges ofFFFFGGbeing slightly smaller than those at the edges of orbitKK. - By contrast, from orbit
Kto thesun, the air-aether nearest to the sun are the smallest and strongest due to their agitation.
The smaller their size, the faster their speed.
- Otherwise, if were large and fast, then they would be flung out to the edges of orbit
KK
The sizes of the stars can be so small compared to their own territories or solar systems.
This makes the orbits KK, LL, etc mark the edges of the agitated area of these stars which facilitates the smaller particles of the air-aether.
- These orbits can be considered as the center of those stellar gravitational territories.
104
Comment dans le Monde aupara vant décrit, il fe formera un Soleil des Etoiles. Velques inegalitez & quelques confufions que nous puiffios fuppofer que Dieu aît mifes au comencement entre les parties de la matiere,il faut fui-vat les loixqu’il a impofées à la nature, qu’elles fe foient aprés reduites prefque toutes à une groffeur, & à un mouvement mediocre, & ainfi qu’elles ayent pris la forme du fecond Element, telle que ie l’ay icy-deffus expliquée.
105
Car pour cofiderer cette matiere en l’état qu’elle auroit pû estre avant que Dieu eût commencé de la mouvoir, on la doit imaginer comme le corps le plus dur & le plus folide qui foit au monde. Et comme on ne fauroit pouffer au-cune partie d’un tel corps, fans pouffer auffi ou tirer par mefme moyé toutes les autres, ainfi faut-il penfer que l’action ou la force de fe mouvoir & defe divifer qui aura été mile d’abord en quelques unes de fes parties,s’eft épandue & diftribuée en toutes les autres au méme inftant, auffi également qu’il fe pouvoit. Il eft vray que cette égalité n’a pû totalement étre parfaite. Car premierement à caufe qu’il n’y a point du tout de vuide en ce nouveau Monde, il a été impoffible que toutes les parties de la matiere fe foient mûës en ligne droite:
106
Mais eftant égales à peu prés & pouvant prefque auffi facilement être détournées l’une que l’autre, elles ont dûs’a- corder toutes enfemble à quel-ques mouvemens circulaires. Et toutesfois à caufe que nous fup- pofons que Dieu les a mûës d’abord diversement, nous ne devós pas penfer qu’elles fe foient toutes acordées à tourner autour d’un feul centre, mais au tour de plu- fieurs differens, & que nous pou- vons imaginer diversement fituez les uns à l’égard des autres.
107
Ensuite dequoy l’on peut cóclure qu’elles ont dû naturellement étre moins agitées ou plus petittes, ou l’une & l’autre enſemble vers les lieux les plus proches de ces centres, que vers les plus éloignez. Carayant toutes inclinatió a continuer leur mouvemét en ligne droite, il eſt certain que ce font les plus fortes, c’eſt à dire les plus groſſes entre celles quié. toient également agitées, & les plus agitées entre celles qui étoient également groſſes, qui ont dû décrire les plus grands cercles, comme étant les plus aprochans de la ligne droite. Et pour la matiere contenuë entre trois ou plusieurs de ces cercles, elle a pûdabord ſe treuver beaucoup moins diviſée & moins agitée que toute l’autre. Et qui plus eft, parce
108
que nous ſuppoſons que Dieu a mis au commencement toute forte d’inegalité entre les parties de cette matiere, nous devons penfer qu’il y en a cu pour lors de toute forte de groſſeur & de figure, & de diſpolées à ſe mouvoir ou à ne ſe mouvoir pas en toutes façons & en tous ſens. Mais cela n’empéche pas qu’elles ne ſe foient apres rendues preſque toutes affez égales, principalement celles qui font demeurées à pareille diſtance des centres, autour déquelles elles tournoyoiét. Car ne ſe pouvant mouvoir les unes fans les autres, il a fallu que les plus agitées communicaſſent de leur mouvement à celles qui l’eſtoiét moins, & que les plus groſſes ſe
109
rompiſſent et se diviſaſſent, afin de pouvoir paſſer par les mémes lieux que celles qui les precedoiẽt, ou bien qu’elles montaſſent plus haut : & ainſi elles ſe ſont arrangées en peu de temps toutes par ordre, en telle ſorte que châcune s’eſt treuvée plus ou moins éloignée du centre, au tour duquel elle a pris ſon cours, ſelon qu’elle a êté plus ou moins groſſe & agitée, à comparaiſon des autres. Et mémes parce que la groſſeur repugne toûjours à la viteſſe du mouvement, on doit penſer que les plus éloignées de châque centre ont êté celles qui étant un peu plus petites que les plus proches, ont êté avec cela de beaucoup plus agitées. Tout de méme
110
pour leurs figures écore que nous fuppofions qu’elles ayent été au commencement de toutes fortes, &qu’elles ayet eu pour la plufpart plufieurs agles & plufieurs côtés, ainfi que les pieces qui s’écartent d’une pierre, quand on la rompt: il eft certain qu’aprés en fe remuant & fe heurtant l’une contre l’autre, elles ont dû rompre peu à peu les petites pointes de leurs angles, & émouffer les quarrez de leurs coftez, jufques à ce qu’elles fe foient rendues à peu prés toutes rondes, ainfi que font les grains de fable &les cailloux,lors qu’ils roullent avec l’eau d’une riviere. Si bie qu’il n’y peutavoir maintenant aucune notable dif- ferance entre celles qui font affez
111
voyfines,ni méme auffi entre celles qui font fort éloignées, finon en cequ’elles peuvent fe mouvoir un peu plus vite, & eftre un peu plus petites ou plus groffes l’une que l’autre. Et cecy n’empéche pas qu’on ne leur puisse attribuer à toutes la méme forme : feule- ment en faut-il excepter quel-ques-unes qui ayant été dés le commencement beaucoup plus groffes que les autres, n’ont pû fi facilement fe divifer, ou qui ayat eu des figures fort irregulieres & empéchantes fe font plûtôt join-res plufieurs ensemble que de fe rompre pour s’arrondir; & ainfi elles ont retenu la forme du troi- fiéme Element, & ót fervià com- pofer les planetes & les come-comme je vous diray apres.
112
De plus, il eft befoin de remarquer que la matiere qui eft fortie d’autour des parties du second Element, à mesure qu’elles ont rompu & émouflé les petites pointes de leurs angles pour s’arrondir, a dû neceffairement acquerir un mouvement beaucoup plus vite que le leur, & ensemble une facilité de fe divifer & de chá ger à tous momens de figure, pour s’accómoder à celle des lieux où elle fetrouvoit: & ainfi qu’elle a pris la forme de l’Element que j’ay icy-deffus expliqué tout le premier. le dis qu’elle a dû acquerir un mouvement beaucoup plus vite que le leur, & la raison en eft évidante.
113
Car devant fortit cofté & par des paffages fort é- troits, hors des petits elpaces qui font entre elles à mesure qu’elles s’alloient rencontrer de front l’une l’autre, elle avoit beaucoup plus de chemin qu’elles à faire en méme temps. Il est auffi befoin de remarquer que ce qui fe treuve de plus de ce premier Element qu’il n’e faut, pour remplir les petits intervalles que les parties du fecond, étant rondes laiffent neceffairement autour d’elles, fe doit retirer vers les centres, autour déquels elles tournent, à caufe qu’elles occupent tous les autres lieux plus éloignés:
114
& que là il doit compofer des corps rods parfaitement liquides & fubtils, léquels tournans fans ceffe beaucoup plus vite, & en méme lens que les parties du fecod Element qui les environne, ont la force d’augmenter l’agitation de celle dont ils font les plus proches, & mémes de les pouffer toutes de tous côtez, en tirant du centre vers la circonferance, ainfi qu’el- les fe pouffent auffi les unes les autres par une action qu’il fau- dra tantôt que j’explique le plus exactement que ie pourray. car ievous advertisque c’eft elle, que nous prendrons icy pour la Lumiere. Comme nous y prendrons auffi, s’il vous plaift, ces corps ronds compofés de la matiere du premier Element toute pure, P’un pour le Soleil, & les autres pour les Eftoiles fixes du nouveau
115
Monde que ie vous décris, & la matiere du fecond Element qui tourne autour d’eux, pour les Cieux. Imaginez vous par exemple que les points, S. E. e. A. font les centres dontie vous par- le, & que toute la matiere comprife en l’efpace F. G. G. F. eft un Ciel qui tourne autour du Soleil marqué S. & toutes celles de l’efpace H. G. G. H. un autre qui tourne autour de l’Etoille marquée e. & ainfi des autres : En forte qu’il y a autant de divers Cieux, comme d’Etoiles déquel les le nombre eft indefiny, & que le Firmament n’eft autre chofe que la fuperficie fans épaiffeur, qui fepare tous les Cieux les uns des autres.
117
Penfez auffi que les parties du fecond Element qui font vers F. ou vers G. font plus agitées que celles qui font vers K ni vers L. L. en forte que leur viteffe diminue peu à peu depuis la circonferance exterieure de châque Ciel,jufques à certain en- droit, par exemple jufques à la Sphere K autour du Soleil, & jufques à la Sphere L. autour de PEtoile, e: d’où elle augmente peu à peu jusques aux centres de ces Cieux, à caufe de l’agitation des aftres qui s’y trouvent. Enforte que pendant que les parties du fecond Element qui font vers K ont loifir d’y décrire un cercle en- tier autour du Soleil, celles qui font vers T. que ie fuppofe en é tre dix fois plus proches,n’ont pas
118
seulement eu loifit d’y en decrire dix,ainfi qu’elles feroiét, fielles ne fe remüoient qu’également vîte; mais peut-eftre plus de trente. Et de rechef, celles qui font vers F. ou vers G. que je fuppple en étre deux ou trois mille fois plus éloi- gnées, en peuvent peut eftre décrire plus de foixante. D’où vous pourrez entendre tantôt que les Planetes qui font les plus hautes, fe doivent remuer plus lentement que les plus baffes ou plus proches du Soleil: Et ensemble plus len- tement que les cometes qui en font toutesfois plus éloignées.
119
Pour la groffeur de chacune des parties du fecond Element, on peut penfer qu’elle eft égale en toutes celles qui font depuis la circonferance exterieure du Ciel F.G. G. F. jufques au cercle K. ou mémes que les plus hautes d’entre elles font quelque peu plus petites que les balles, pourveu qu’on ne fuppofe point la differance de leur groffeur plus gran- de à proportion, que celle de leur viteffe: mais il faut penfer au contraire que depuis le cercle K. jufques au Soleil, ce font les plus baffes qui font les plus petites, & mefmes que la differance de leur groffeur eft plus grande ou du moins auffi grande à proportion, que celle de leur viteffe. Car au- trement ces plus baffes étant les plus fortes à caufe de leur agitation elles iroient occuper la pla- ce des plus hautes.
120
Enfin remarquez que vû la façon dont j’ay dir que le Soleil & les autres Etoiles fixes fe formoient,leurs corps peuvent eftre fi petits à l’égard des Cieux qui les contiennent, que méme tous les cercles K. L. & femblables qui marquent jufques où leur agitation fait avancer le cours de la matiere du fecond Element, ne feront confiderables à comparaifon de ces Cieux, que comme des points qui marquent leur centre. Ainfi que les nouveaux Aftronomes ne confiderent quafi que comme un point toute la Sphere de Saturne, à comparaifon du Firmament.